Quand le coeur saigne …
« Femme qui pleure » 1937, Picasso
« A toi l’âme blessée »
Il est difficile pour moi de te voir souffrir
D’entendre que tu ressens un vide
J’aimerais tellement panser ta peine
Seulement …
Je n’ai pas le jeu de mots de mélanie
Ni le passement de jambe de Karim
Encore moins le charisme de Zineddine
Juste ma petite voix du rappel
Bienveillante et clémente
Pour te dire
Retrouves la joie, la couleur et l’espoir
Accroches toi à tes valeurs et redresses toi
Quand bien même tu te sens seule dans tes idées
Tu n’es pas orpheline
Pudique, entière et éduquée
Ne crains rien, tu as pris la bonne voie
La lumière a atteint ton coeur
Les paroles de vérité te soutiennent
Continue, poursuit, avance
De bonheur vers ceux qui n’ont pas encore compris
Par amour, cours de plus en plus vite
Surtout ne t’arrêtes pas et ne regardes pas en arrière
Ne t’infliges pas cette souffrance
Ta belle personne vaut de l’or
Saisis tes qualités, oublies tes défauts
Demande de l’aide à qui tu sais
Celui que tu aimes tant
Tu sais bien qu’Il ne t’abandonnera jamais
Qu’Il entend la fréquence de ton coeur
Il te connait bien, Il t’a façonné
N’aies pas peur d’être en intimité
De pleurer tes maux, tes peines
Qui mieux que Lui peut les accueillir ?
Bakhta Myseed
